Gaëlle Robert

Journaliste c'est l'une des orientations futures que j'envisage alors quand j'ai entendu qu'un projet de journal du CPES se mettait en place j'ai sauté sur l'occasion. J'avais déjà fait de la co-animation dans la web-radio de mon lycée alors c'est avec une pointe de nostalgie et beaucoup d'enthousiasme que j'ai décidé de reconvertir mon ancienne chronique G'ciné en version papier. Humanités de la pointe des pieds à la racine de mes cheveux, je ne jure que par la Culture : livre, musique, théâtre mais surtout le cinéma. Vous avez une chance sur deux de me croiser si vous allez au cinéma. Non je plaisante pas, grâce à ma carte magique (Multipass... si t'as la réf' on va bien s'entendre) aka l'abonnement UGC illimité je vais entre 2 à 3 fois par semaine au cinéma. Alors c'est avec plaisir que je vous fournirai mon avis totalement partial et subjectif sur les sorties de la semaine ou du mois. Et comme le dit Godard : "Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d’autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout".

Lucky strike : le Kill Bill coréen

Les réalisateurs coréens ont un talent particulier pour mélanger avec facilité et fluidité les genres au sein même de leur intrigue principale poignante. Ainsi tout comme dans Parasite, on trouve toujours une critique sociale, une pointe d’humour grinçante qui contrebalance l’effet gore de certaines scènes. Cette capacité à « mélanger » les styles tout en conservant une globalité cohérente est un véritable coup de maître et c’est probablement une des raisons qui expliquent le succès de ces films aujourd’hui en France.